by Pablo Claveria

Halle Polyvalent et centre civique à Dallet (Auvergne)









 

La vida de la devesa

 

Critica a la arquitectura del estilo libre


 

Los NO-lugares




 

Escultura metal








 

Escultura plástico













 

André Gaillard et Onex parc

André Gaillard et ses references.




Né le 22 octobre 1921, André Gaillard est un architecte Suisse qui a participé dans la création plusieurs typologies de bâtiments, en soulignant les ensembles de logement, les villes et chalets individuels et l’hébergement du tourisme.
André Gaillard est un architecte avec une grande aptitude de composition. Cet aptitude peut avoir été obtenu grâce aux enseignements d’Eugène Beaudouin, qui en devenant occasionnellement son associé.
De cela manière nous pourrions dire que Gaillard a été l’élève de Beaudouin, parce que c’est lui qui l’a rattaché clairement à la tradition “beaux-arts”. Un clair exemple de cette relation peut-être la manière comment Beaudouin dispose des bâtiments de gabarit varié autour d’une espace central de référence, et les orientations des bâtiments étant davantage dictées par l’espace extérieur. Postérieurement Gaillard a réinterprété cette principe de composition au moins à trois reprises; à l’occasion de l’ensemble Numaga (1953, La Chaux-de-Fons), de Morillon Parc (1955) et d’Onex-Parc (1958)

Finalement c’est important à dire que en 1953 Gaillard a commencé à donner des enseignements sur l’EAUG (Ecole d’Architecture de l’Université de Genève), et c’est là, ou nous pouvons faire un regard sur les travaux de ses étudiants par pouvoir déceler les bases de l’architecture de Gaillard. D’une grande liberté formelle, ces projets fonr de toute évidence partie d’une période en quête de nouveaux langages expressifs, mais encore issus spécifiquement de l’univers beaux-arts.
Pendant les premiers années d’enseignements à Genève, les élèves son généralement satisfaits, mais dès le début des années 1960, les étudiants accusent l’école d’immobilisme. Ce fait fera que Gaillard et Beaudouin est poussée à la démission, chose que nous fait prendre conscience de l’importance des beaux-arts dans leur architecture.
A partir de cette relation, nous pourrons voir comme apparaît tout au long de cet ouvrage une évidence de l’emphase donnée à la forme pour elle-même. Dans la tradition de l’éclectisme du siècle XIX que l’enseignement beaux-arts tend à perpétuer jusque les années 1960, Gaillard et son group de projeteurs se livrent ainsi à une sorte d’écrémage esthétique du lait conceptuel débouchant parfois sur des exercices formels, comme le montrent plusieurs expériences de « plastiques libres » : des formes pour des formes, des formes pour créer des émotions. Une claire exemple de cette liberté formel peut-être son maison de vacances qu’il même s’a construit à Roses (Espagne), où dizaines de photographies exaltant la configuration plastique de l’objet dans ses rapports avec le site, de multiples jeux de volumes fragmentaires ou de texture rustique sous la lumière.





Le logement collectif dans les différents cités nouvelles de la pheripherie de Genève


À partir des années 1960, l’urbanisation rapide grâce à le procès d’industrialisation incite les autorités à planifier le développement des plus grandes agglomérations par la création de villes nouvelles à leur périphérie. La conception de ses nouvelles villes était inspirée d’abord par la volonté de rompre avec tous les modèles préexistants. Ensuite elles son conçues avec une approche qui ‘est plus ni perspective ni figurative, mais strictement fonctionnelle selon le processus ingénieurial développé par Ildefons Cerdà sous la nouvelle appellation d’urbanisme.
Ce moment est un point d’inflexion par l’architecture, donc à partir de ce période s’ouvre une nouvelle fenêtre où les architectes ont les mains libres par pouvoir expérimenter. Force est de constater que l’EAUG dispensés de tout enseignement dans ce domine, et les architectes formés aux beaux-arts vont pouvoir exprimer leur liberté formel. Leur curiosité va dès lors se « nourrir » des conférences, des expositions et, surtout, de la lecture des revues qui à publier certains modèles confirmés (comme l’unité d’habitation de Le Corbusier).
André Gaillard resté attentif à cette évolution de l’architecture moderne. Proche de Beaudouin, il peut ainsi enrichir les principes de composition classiques et paysagers issus de son enseignement par d’autres références, certaines incontournables comme les géométries organiques de Frank Lloyd Wright ou l’expression de « brutalisme » de Le Corbusier.








Onex


Onex a été toujours une petite ville qui grâce à les premiers bâtiments de la cité nouvelle a eu une forte croissance démographique, devient alors une cité-dortoir, avec 2.000hab en 1960, 10.000 en 1965 et plus de 17.000 en 2008.
Nous pourrons diviser la ville en 4 types de zones, en la classant selon les types des bâtiments. De cela manière nous pouvons trouver les bâtiments de la cité-nouvelle, la cité-Carroll, le groupe résidentiel d’Onex parc, et les bâtiments construits après 1965.
Onex est bien communiqué par la route de Chancy, qui continue jusqu’à le centre de Genève. Par cette route circulent plusieurs lignes de bus qui peuvent nous porter à Genève de manière assez confortable, mais le problème réside en que cette route est bien utilisée par beaucoup de gens, c’est pour cela que la distance effective l’éloigne de Genève.
La Cité-Carroll répond aux principes des modernes, des immeubles-barres de 8 à 10 sont implantés le log des voies de circulation desservant le quartier. L’espace central ainsi libéré reste à la disposition des usagers. Les bâtiments  sont organisés par quatre logements non-traversants pour les bâtiments est-ouest et deux logements traversants  pour ceux orientés nord-sud. Le système constructif est le système de dalle à caissons portés par des murs de refend, et l’enveloppe est entièrement constituée d’éléments préfabriqués.
Les principes urbanistiques de la Cité-Nouvelle se fondent sur les règles misent en place par les frères Honegger pour la Cité-Carrol, première étape de la future cité, à savoir : un réseau viaire selon une trame régulière, des immeubles barres implantés systématiquement entre le front des voies d’un côté et de larges espaces verts de l’autre.



André Gaillard et Maurice Cailler, les bases pour la construction d'Onex Parc


A partir de l’association d’André Gaillard et Maurice Cailler, constituée en 1953, ils cherchent délibérément adopter une implantation libre des bâtiments disposées autour d’un jardin ou d’espaces verts. Une dérogation aux règles qui lui ouvre le champ d’une plus grande liberté compositive et lui permet d’exploiter au mieux le potentiel à bâtir d’un site en particulier.
Pendant cette association, ils ont travaillé sur différents bâtiments de logement collectif, et la plupart de ces ensembles ont similitudes avec la construction de l’ensemble d’Onex Parc. Ce pour cela, que c’est très important de faire une petite révision de deux des projets plus importants faites par cette association et les qui leurs porteraient plus tard à faire la conception de le groupe résidentiel d’Onex. 
La première intervention de cette association été l’ensemble Numaga (1953) qui est constitué par deux corps de bâtiments, et disposés perpendiculairement l’un à l’autre. L’implantation est dictée par l’orientation, la pente du terrain et le souci de ne pas trop subdiviser les espaces verts. Le traitement stylistique est le reflet de ces organisations et diversité intérieures, jouant sur des expressions presque similaires pour les orientations est-ouest et sur  de forts contrastes plastiques.

De  tous les projets effectués pendant l’association de Gaillard et Cailler, le plus proche à le groupe résidentiel d’Onex parc, peut-être l’ensemble de Morillon-Parc (1955) ; Cette construction est composée par deux corps de bâtiments pliés, implantés le long des limites, épousant chacun la géométrie irrégulière des contours de la parcelle et libérant au centre un grand parc pratiquement fermé. Cette configuration n’est pas sans rappeler des projets italiens et espagnols dessinés à la même époque et ayant des morphologies en plusieurs points. L’expression des façades de Morillon-Parc est entièrement dominée par l’horizontalité des bandes ininterrompues des contrecœurs en bêton.


Groupe Residentiel d'Onex Parc


En 1960, André Gaillard, Maurice Cailler et Dominique Reverdin élaborent un vaste plan d’ensemble pour un quartier d’habitation à Onex. Ce plan est une planification antérieure au plan directeur pour la cité d’Onex, et répond à unes nécessités très claires. Cet ensemble était composé par cinq blocs d’habitation disposes en périphérie de la parcelle a fin d’exclure la possibilité d’extension future et de réunir en position central tous les équipements et services nécessaires à l’autonomie du quartier. Cet schéma de fonctionnement nous l’avons déjà vu sur autres ouvres réalisées par Gaillard ou antérieurement par Beaudouin. Mais le problème c’est que finalement, les immeubles construits ne représentent qu’une partie du projet initial, donc un seul bâtiment a été construit par Gaillard. Les autres immeubles construits postérieurement, s’articulent selon les conceptions originales, mais les hauts gabarits sont ceux défini par l’ensemble de la cité nouvelle.







L’orientation des bâtiments étant davantage dictées par l’espace extérieur, et les balcons ont été dirigées en direction oblique à la rue principale avec le but d’profiter le soleil, mais surtout d’obtenir plus d’intimité. C’est important à dire aussi, que ce jeu des directions obliques fait ainsi un jeu d’ombres que servira de protection au soleil des chambres extérieures des logements et pour la configuration compositive que Gaillard voulait donner à la façade.


La position des bâtiments respect la rue est une intéressante stratégie de l’architecte pour parvenir à être séparé de les bruyantes rues. Cette espace restant entre la rue et le bâtiment est destiné à l’espace vert et à la plantation d’arbres qui feront un visible séparation entre la rue et les logements, en se transformant en une barrière naturelle.
Avec la création des grandes espaces verts entre les  bâtiments, Gaillard a obtenu la possibilité de potentiel l’espace intérieur de la parcelle et de cela manière améliorer les conditions de vie de les gens qui habitent là. C’est pour cela que Gaillard a considéré les deux façades comment principales en les traitant avec beaucoup d’affection.


De la même manière que au projet de Morillon-Parc, les façades sont totalement dominées par l’horizontalité grâce à des contrecœurs de bêton. C’est détachable à dire que en cette occasion, Gaillard a joué avec l’incorporation de logements duplex qui ont l’importance plastique de couper l’horizontalité et moduler la façade.

L’école d’Onex-Parc est conçue par André Gaillard, Maurice Cailler et Dominique Reverdin, architectes responsables également des grandes barres de logement disposées sur le pourtour du terrain, de manière à ménager en son centre de larges surfaces réservées aux espaces publics et équipements de quartier.— Il s’agissait d’aménager un chemin public distinct du préau et de rénover les aires de jeux sous les arbres. Afin d’éviter la pose de clôtures, un banc en béton ménage un seuil entre les différents usages, scolaire et public. Le même type de banc délimite une surface en copeaux, agrémentée de cabanes en bois.

L’école d’Onex-Parc a été construite en 1968. Depuis, elle a subi de très gros travaux de réfection (entre 1999 et 2003). Elle a été rénovée aussi bien à l’extérieur qu’à l’intérieur. L’école d’Onex-Parc abrite également les locaux de plusieurs sociétés ainsi que ceux de la télévision locale Canal Onex.


A partir de le bâtiment fait par Gaillard, ont été postérieurement construits des autres blocs de logement en suivant les directrices principales du projet de Gaillard, mais est reconnu que finalement ni s’ont bien respecté les espaces intérieures ni les constructions ont été faites selon les schémas initiales de Gaillard.











 

Residencia para estudiantes erasmus en Barcelona








 

Edificio plurifamiliar de 6 viviendas en pasaje Mendez-Vigo Barcelona

INTRODUCCIÓN



AGUA



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